Aujourd'hui, j'ai pris la parole à l'Assemblée législative pour demander à la ministre aux Affaires francophones pourquoi elle croit toujours qu'une unité aux services en français au sein du bureau de l'Ombudsman fonctionnerait de la même façon qu'un bureau indépendant. Malheureusement, la ministre n'a pas répondu à ma question : ni le mandat, ni le caractère de son travail n’exigent que l’Ombudsman (ou une unité dans son domain) reçoit et règle des plaintes.
La communauté Franco-Ontarienne a demandé à plusieurs reprises ce que nous voulons : le retour immédiat du bureau indépendant du Commissaire aux services en français.